août 24 2013
Découverte de nouvelles espèces…
(Version audio à la fin de l’article)
L’autre jour je lisais une série d’articles sur les nouvelles découvertes scientifiques, lorsque j’ai remarqué une information générale mais qui n’a pas manqué de me réjouir !
Il paraît que très régulièrement, certains chercheurs découvrent de nouvelles espèces animales sur la terre ou plus exactement sous les mers !
Cette information est fantastique !
Il est commun de se lamenter sur la disparition d’animaux du fait de l’homme. Il est vrai que les apparences sont trompeuses. Nous avons l’impression que les activités humaines sont à l’origine de l’extinction de bon nombre d’êtres vivants sur la planète, animaux et végétaux d’ailleurs !
Or, nous pouvons avoir une autre impression ; celle que la terre n’a que faire de l’homme et de ses affaires !
La planète est bien au-delà de tout ce que l’homme lui fait subir ou pas.
Permettez au moins de penser que la terre se remettra toujours de tout…alors que, pour ce qui est des hommes et des autres espèces qui la peuplent, ceci est moins sûr !
Mais là n’est pas le propos. Dans cet article il s’agirait plutôt de s’extasier sur la découverte de nouvelles espèces animales, vivant au fond de la mer.
Car, cette information est réjouissante pour l’ADV, spécialement si nous l’interprétons du point de vue symbolique.
En effet, nous avons déjà eu l’occasion de développer l’idée que la mer et les fonds sous-marins seraient les représentés symboliques de notre inconscient. (voir l’article sur ladv.biz : « Le symbolisme peut être un jeu).
Les fonds sous-marins et toute la vie qui s’y développe sont invisibles à l’œil nu, du moins, si nous ne décidons pas d’y plonger. Et encore, il nous faut un équipement spécial afin de pouvoir nous accommoder à ce milieu dont nous ne sommes pas adaptés à l’état naturel.
Et si le fond des mers représentait effectivement notre inconscient ? Et si, le fait de découvrir des êtres vivants précisément-là, serait la preuve que nous sommes en train de découvrir des choses nouvelles et inconscientes sur nous aussi ?
Au passage, notez bien que puisque nous ne sommes pas « outillés » naturellement pour vivre sous l’eau, cela voudrait dire que nous ne sommes pas faits pour vivre notre quotidien dans l’inconscience.
Si nous passons notre vie en restant inconscient à ce qui se passe autour de nous, à ce qui fait notre essentiel, nous ne nous sentons pas bien, en tout cas, pas tout à fait accomplis !
En symbolisme toujours, c’est comme si nous nous considérions comme des poissons. Ne nous étonnons pas, dès lors, que nous tombions parfois dans les filets ou autres cannes à pêche, et que nous finissions dans une casserole afin d’être mangé ! Au sens figuré bien-sûr !
Or, c’est bien connu, le poisson est bon pour la santé ! De la même manière, connaitre, intégrer des données venant de notre inconscient, les transformer, et les cuisiner en quelque sorte pour que celles-ci soient « mangeables », sont des parallèles tout à fait intéressants. Ils parlent de nous et de nos besoins profonds. Et ceci est aussi très bon pour la santé bien sûr !!
***
Maintenant, si vous en avez le cœur, explorons ensemble ce postulat très ladivin :
Tous les êtres vivants et les choses non vivantes d’ailleurs, tout ce qui est manifesté sur terre, est porteur d’une information primordiale, certains la nomment l’archétype. Cette information est, en quelque sorte, la pensée à l’origine de la matérialisation de la forme. Nous pourrions si nous voulions développer cette capacité que les initiés avaient autrefois, comprendre la raison d’être de chaque chose, minérale, animale ou végétale.
Alors voilà une simultanéité troublante : c’est précisément lorsque nous faisons des recherches et des découvertes fabuleuses sur notre cerveau et son fonctionnement que nous faisons des recherches et des découvertes fabuleuses dans les fonds marins, entre autres bien sûr ! Nous avons développé les moyens, sous forme notamment de matériels et d’instruments très sophistiqués afin d’aller nous y promener et y faire des découvertes fantastiques. Ceci a pu être réalisé grâce à notre intelligence, nos savoir-faire, ainsi que les progrès que nous n’avons cessé de réaliser depuis que nous sommes sur terre.
L’ADV y voit un éblouissant lien de cause à effet ! Et cela devrait être au moins un peu troublant pour tous ceux… qui ne croient pas au hasard !
En d’autres termes, si nous sommes capables d’aller très profondément dans la mer, c’est que nous avons découvert aussi des endroits très profonds dans notre cerveau, plus précisément, vous l’avez compris, dans l’inconscient.
Mais qu’est-ce que ce lien peut apporter de plus ?
Tout simplement admettre que tout ce que nous avons découvert, tout ce que nous connaissons, tout ce qui nous est donné à voir, n’est possible que parce que nous en avons les capacités neuronales !
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Sachant cela, le constat est là : ce que nous pourrons réaliser sur terre ne pourra jamais dépasser nos pensées…
Il paraît évident que plus nous nous mettons en mode apprentissage, recherche et découverte de nous-même et de ce qui nous entoure, plus nous évoluons.
Jusqu’à présent, nous voyons de-ci, delà, ce concept en action. En effet, certains êtres exceptionnels ou tout simplement ceux qui ont d’autres points de vue que la majorité des gens, ainsi que tous ceux qui ont réussi à élever leurs pensées au-delà de leurs contemporains, ont vraiment apporté un plus à toute l’humanité. Le niveau de conscience s’élève à chaque fois qu’une nouveauté ou qu’une découverte est effectuée, et ce dans n’importe quel domaine…
En fait, il faut voir cela comme une spirale vertueuse qui nous élève sans cesse. Plus nous apprenons et comprenons des mécanismes ou, comme ce qui est présenté ici, plus nous découvrons des choses qui jusque-là nous étaient cachées, plus nous élevons le niveau de conscience de l’humanité entière.
Si vous êtes de ceux qui se désolent de l’être humain, alors envisagez l’idée suivante : le seul moyen qu’à celui-ci de se sortir la tête haute de son passage sur cette magnifique planète est de s’élever au-dessus de ses pensées.
Comment faire ?
Comme cela a été expliqué plus haut, en apprenant des choses sur lui ! Soit directement en partant à la découverte de lui-même, soit indirectement en partant à la découverte de ce qui l’entoure. En sachant que ce qui l’entoure, à l’état naturel et inconsciemment n’est que le reflet de ce qu’il peut appréhender, de ce qu’il peut comprendre, de ce que ses sens peuvent lui transmettre. Or, ce qui l’entoure devient, s’il y met de la conscience, le terreau fertile à toutes les compréhensions et donc à son évolution !
Ce qui est inconscient, tels les fabuleuses découvertes des fonds sous-marins, remontent alors à la surface de la conscience, pour venir nous éblouir de ce qu’elles nous donnent à voir !
A nous de rester « aware » (conscient) comme nous le recommandait souvent ce cher JC Vandamme !
Notre mission d’être humain, si nous l’acceptons, est de prendre l’engagement de penser chaque jour de mieux en mieux, afin que nous puissions nous rendre meilleur et, de ce fait, améliorer l’humanité entière.
A nous d’œuvrer afin d’atteindre ce but exaltant !
août 25, 2013 @ 06:34:02
Il est sûrement vrai que c’est l’homme qui s’adapte à la nature et non l’inverse.
On le sait par des évènements qui se sont produits dans le temps : disparition des dinosaures, migration des hommes par le détroit de Bering, civilisations anéanties, etc. L’homme a connu aussi beaucoup de mutations depuis la nuit des temps, les scientifiques font d’ailleurs toujours de nouvelles découvertes à ce sujet. Donc, la nature fait ce qu’elle veut, tu as raison.
De nouvelles espèces apparaissent (ou bien existaient-elles, sans qu’on le sache ?) et d’autres disparaissent, c’est un cycle sans doute banal.
De même, l’être humain évolue également grâce à son cerveau.
L’essentiel serait qu’il évolue dans le bon sens, c’est-à-dire rendre le monde meilleur, mais ça, ce n’est pas gagné.
Bon dimanche et bisous.
août 25, 2013 @ 21:27:15
Oui, c’est vrai Clara. Sans doute ces animaux existaient-ils déjà mais maintenant des amoureux de la mer, très respectueux de l’environnement nous les montrent… C’est ça l’évolution positive, en parallèle avec le fonctionnement du cerveau.
Je pense, en regardant autour de moi et le plus objectivement possible, qu’il y a plus de personnes sympathiques et qui aiment notre planète que celles qui la détestent et veulent la détruire. Si tu regardes bien, la peur de plein de choses, chacun a les siennes, est à l’origine des dérapages de pas mal d’êtres humains.
La connaissance de soi, savoir que nous avons les capacités de nous sortir de n’importe quelle situation, calme les peurs. C’est alors que nous pouvons respecter et aimer notre environnement.
Merci Clara pour cet intéressant commentaire !
août 25, 2013 @ 19:06:06
Bonsoir Chère Elisabeth,
Bien sûr, votre article va – sur un point notamment – « a contrario » du message que je fais passer dans mon dernier poème… Mais cela ne m’empêche absolument pas d’apprécier ce que vous avancez ici, dans la mesure où cela va dans le sens d’une « élévation de la pensée » et de la découverte d’espèces nouvelles dans les fonds sous-marins (nous évoquons donc, je pense, deux choses un peu différentes malgré tout).
Je suis seulement un peu circonspecte quant au fait que « la nature est bien au-delà de ce que l’Homme lui fait subir ou pas ».
Certes, l’on dit souvent que la nature reprend toujours ses droits. Mais elle les reprend généralement là où l’Homme a voulu « marquer son territoire » au détriment de la nature. Vous ne croyez pas ?
Ce que j’évoque en mon poème est une réflexion que je me suis faite en regardant une émission sur les plages qui disparaissent. A force de bâtir là où il veut avoir la nature à ses pieds (la mer en l’occurrence), l’Homme va se retrouver enseveli sous les flots… C’est scientifiquement prouvé, eu égard au nombre de mètres de plage perdus en l’espace de dix ans ou plus (selon les endroits).
Certes, ce jour-là, il pourra explorer les fonds marins et découvrir les espèces naturelles dont vous faites mention ici (sourire). Mais il est indéniable que certaines habitations menacent de se retrouver au sol bientôt, pour celles qui sont en front de mer. Cela m’affole et me révulse aussi, car les moyens mis en œuvre pour récupérer du sable font pire que mieux !
Mais, pour vous avoir lue sur d’autres articles, je sais combien vous tentez d’élever la pensée vers les choses positives. Je vous avoue n’attendre que pouvoir le faire aussi concernant l’attitude de l’Homme envers la nature. J’espère donc qu’il prendra un jour conscience de ses erreurs.
Je suis donc loin de ne pas être réceptive à ces « espèces nouvelles ». Et suis séduite, au contraire, par le parallèle que vous faites ici avec une plongée dans l’inconscient humain.
Votre article est, à cet égard, très intéressant et enrichissant.
Merci beaucoup pour ce partage.
Bonne soirée, et bien amicalement,
Cathy.
août 25, 2013 @ 22:43:25
Je sais parfaitement bien Cathy, que votre sensibilité de poète n’a absolument pas été offusquée de quoi que ce soit dans ce que j’ai pu écrire ! Tout est affaire de point de vue et souvenez-vous que je suis du genre à dire que la vérité n’existe pas ! Ce que je pense sur l’influence que peuvent avoir les hommes sur la terre n’est qu’une façon de voir les choses. Votre poème est aussi une façon de voir ces choses, magnifiquement bien restitué. Une vérité en vaut tout à fait une autre ! Ce qu’il y a de bien, c’est que nous nous écoutons mutuellement avec beaucoup d’envie d’apprendre et de respect ; cela fait le charme de notre relation je pense… Tout le monde devrait pouvoir envisager les échanges ainsi. Nous respectant, car c’est bien de cela dont il s’agit, nous respectons la vie et la terre qui nous porte. Les gens irrespectueux avec les autres et la terre, le sont aussi et avant tout avec eux-mêmes.
Les remèdes ? Apprentissage, connaissance de soi… encore et toujours !
Pour en revenir aux constructions si près de la mer, l’homme est dépassé par la nature, alors qu’il voulait la dompter inconsciemment ! Mais cela ne marche pas ainsi ! « Finir » symboliquement dans l’eau avec les poissons, n’est pas sans raison : c’est en quelque sorte faire l’expérience physique de l’inconscience ! Et comme évoqué dans l’article, la terre n’a que faire de l’homme et de ses affaires !
C’est encore un point de vue, mais je le trouve aidant…
Merci Cathy pour ces réflexions très intéressantes et pour l’intérêt que vous portez à nos échanges.
A bientôt
août 30, 2013 @ 16:24:34
Bonjour Elisabeth,
Je découvre votre site avec un certain plaisir. Nous avons tous besoin d’entendre ou de lire, des personnes comme vous.
Je pense que j’ai vu la même émission que vous, sur les nouvelles découvertes sous-marines, et j’adore ces reportages qui nous montrent combien nous sommes peu de chose, face au monde. Mais je suis une éternelle optimiste, donc je crois en moi et c’est déjà beaucoup (lol)
au plaisir
août 30, 2013 @ 17:34:36
Bonjour à vous et merci d’être passée par ici ! J’espère que vous allez vite retrouver votre petit Pikwik, adorable petit perroquet si je ne m’abuse ! En tout cas, entre optimistes nous allons sans doute nous comprendre ! Je préfère effectivement et de loin trier ce que je regarde, ce que je lis, ce que j’entends aussi ! Je pense, à tort ou à raison d’ailleurs, mais cela est un autre sujet, que mon temps est précieux. A ce titre, il ne peut pas être gaspillé pour écouter les points de vue les plus pessimistes et catastrophiques du monde ! Il existe tellement de beauté, de bonheur et d’espoir aussi ! Je sais que le malheur existe, je ne le nie pas. Mais est-ce bien raisonnable de s’y vautrer, surtout en choisissant les émissions nous montrant les aberrations et les horreurs du monde ? Il me semble qu’il est plus facile d’agir individuellement pour augmenter notre bien-être et notre bonheur, (thème de votre blog d’ailleurs !) que d’agir individuellement pour faire disparaître le malheur du monde !
Mais tout est, bien entendu, une question de point de vue !
Merci encore de votre visite et « au bonheur » de se croiser à nouveau !!
Elisabeth